La localisation géographique des échantillonnages, relevée grâce au GPS, est reportée afin de compléter la cartographie numérisée, ce qui permet également de visualiser la progression de la campagne.
Les habitats des lieux d’échantillonnage sont photographiés ainsi que certains spécimens, dans leur environnement naturel, in situ.
Après la plongée, à l'arrivée à la base, les plongeurs sont interviewés pour raconter en détail les habitats et peuplements des zones échantillonnées. Ces enregistrements audio précieux sont retranscrits tous les soirs afin de conserver en mémoire la description des habitats liés aux stations. Ce travail de recueil d'informations vous sera détaillé prochainement dans un billet consacré aux habitats des zones marines côtières de Martinique.
Arrivés au laboratoire après les opérations de tri, certains spécimens sont photographiés selon différents procédés. Certains membres de l’expédition, comme Jesus Ortea, s'adonnent au dessin naturaliste d'observation.
Au total, ce seront des dizaines de milliers d'images qui seront répertoriées, archivées, et beaucoup d'entre elles seront publiées.
Michaël Rabiller
